Les Assises de la Transformation Digitale en Afrique (ATDA) réunissent chaque année à Paris les principaux décideurs de l’écosystème numérique africain pour échanger sur les enjeux de la construction numérique.

Plateforme de rencontres de haut niveau entre Africains, Européens Asiatiques et Américains depuis 2011, les ATDA permettent aux participants d’échanger sur les meilleures pratiques, d’identifier de nouveaux partenaires et de nouvelles opportunités d’affaires sur le continent.

Le Club-DSI Tunisie participe aux Assises de la Transformation Digitale en Afrique - ATDA 2021 qui sera tenue les 25 et 26 novembre 2021 à Marrakech au Maroc.

Le Club-DSI Tunisie sera représenté par ses deux membres du Bureau Directeur : Raouf Mkadmi et Adnene Saidane. Mr. Mkadmi participe à la table ronde “Migration vers le Cloud, réalité et nécessité?”

Mr Mkadmi a participé à la table ronde “Migration vers le Cloud, réalité et nécessité ?” Lors de son intervention, Mr Mkadmi a analysé les freins vis-à-vis la migration vers le Cloud.

En fait, il a évoqué la différence de vitesse de migration vers le Cloud entre les entreprises privés et l’administration ou les établissements publics. Il a expliqué également les freins à l’acceptation du concept de l’hébergement des données sur une plateforme externe à l’entreprise par les décideurs de l’administration. Une autre problématique que Mr Mkadmi a discuté est celle de la réglementation des marchés publics qui favorise des technologies disparates ce qui complique la migration vers le Cloud.

Dans ce cadre, Mr Mkadmi a donc introduit une panoplie de solutions possibles tel que le rôle de la réglementation nationale en matière du Cloud pour favoriser un environnement de confiance entre le prestataire Cloud et le client final ainsi que le rôle des stratégies Cloud first et Cloud sectoriel pour booster la migration vers la Cloud. Mr Mkadmi a cité quelques actions du Club DSI Tunisie pour inculquer une nouvelle culture digitale à travers des thématiques organisées avec des représentants de l’administration et à travers la participation dans les comités nationaux.

Il a clôturé son intervention par la présentation des perspectives de solutions pour un dispositif de Cloud Africain autour d’une harmonisation des lois et règles sur les données en s’inspirant des standards et normes internationaux.